BMX Freestyle

Les pratiques libres (urbain et park)

Le freestyle

Des contests apparaissent en freestyle, comme les X Games et les Gravity Games aux États-Unis, en France on peut trouver le Festival International des Sports Extrêmes qui se déroule à Montpellier après être passé à Palavas-les-Flots. Les juges sont d’anciens riders ou encore riders mais expérimentés, on juge sur les figures effectuées et leur difficultés mais aussi sur l’originalité et le style.

Le dirt

Le dirt est apparu quand les pilotes sont devenus plus doués : ils ont d’abord sauté des doubles de plus en plus longues, puis certains se sont mis à lâcher une main. Cette pratique dangereuse a été interdite en compétition mais s’est développée entre les courses car elle apporte beaucoup de spectacle. Désormais, les dirters font des loopings dans tous les sens (backflip, frontflip), font tourner leur guidon tout en se lâchant les pieds… Les tricks sont de plus en plus impressionnants et les riders repoussent sans cesse leurs limites, le backflip est devenu une base.

Le flat

Le flat est une discipline qui se pratique avec un BMX, mais qui est devenue une discipline à part entière qui se détache un peu des autres disciplines. Elle consiste à faire des figures ou enchaînement de figures exclusivement au sol, souvent en équilibre sur une seule roue. (Souvent effectués sur des cale-pieds appelé pegs.

Le street

Le street s’inspire du skate, le but est de se promener en ville et d’effectuer des grinds, slides, sauts, wallrides acid drop dans l’élément urbain. Le rider se sert de plans inclinés, de mur de ville, de handrails, de ledge (muret sur le côté d’escalier) et de tout autre installation non prévue à cette effet. Le street vient souvent à cause d’une absence de structure pour rider ou une envie de changer.

Le park

Le park utilise une zone dédiée à son sport, le skatepark, comme ceux pratiquant le rollerblade ou patin à roues alignées, le skate, etc. Le but étant ici de faire le plus de choses possibles en regroupant toutes disciplines.

Le fixie

A tous les amateurs de pignon fixe « Urbain » (et ils sont quelques uns à Dijon), notre club est prêt à fédérer et étudier ensemble la mise en place d’une section FIXIE en plus de la RACE, FREESTYLE et VTT. Nous pourrions étudier comment profitez de nos horaires au Skatepark et voir avec la municipalité s’il est possible d’avoir accès à un terrain pour le Polo-Vélo ! Pour en savoir plus sur le FIXIE, voir le site www.pignonfixe.com et la très belle revue « Fixé » réalisé par l’équipe du Magazine « Cream »

Le FIXIE c’est quoi ?

Depuis quelques temps, une nouvelle tendance émerge en France, la pratique du vélo à pignon fixe, dit « fixie » pour les intimes. Longtemps considéré comme un sport top ringard, un passe-temps de papys à varices, le vélo de route investit le bitume des grandes villes et prend un sacré coup de jeune. Pas de vitesse, pas de freins. Telles sont les particularités de cette bicyclette minimaliste qui a envahi, ces dernières années, les rues des grandes villes d’Amérique du Nord et d’Europe. Le vélo à pignon c’est l’assurance de sensations pures.

Le montage avec pignon fixe est un montage particulier de la bicyclette lorsque le pignon de la roue arrière qui est généralement monté avec une roue libre est monté sans roue libre ce qui le rend solidaire de la roue dans les deux sens. Quand on monte un vélo avec pignon fixe, on est généralement surpris d’avoir ses jambes entraînées quand on veut freiner. Il n’est plus possible de faire de la roue libre, on est obligé de continuer à tourner les jambes jusqu’à l’arrêt. Le pignon fixe est beaucoup utilisé par les coureurs cyclistes : il est obligatoire pour les pistards et est très utile pour les routiers lorsqu’ils font leur entraînement d’hiver.

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